La police britannique sera autorisée à capturer des drones

Avec l'avènement des véhicules aériens sans pilote, le concept de «vie personnelle» est resté dans le passé. Après tout, tout propriétaire d'un quadricoptère équipé d'une caméra verticale peut envahir la vie personnelle de la reine d'Angleterre elle-même. C’est peut-être précisément cette hypothèse qui a servi de point de départ à l’introduction du durcissement au Royaume-Uni pour l’achat de drones. Comme vous le savez, dans un pays européen développé, l’acquisition d’UAV nécessite une inscription obligatoire et une formation à la gestion.

Cependant, cela ne suffisait pas, car les propriétaires des drones ne suffisent plus pour envahir la vie privée britannique. Les utilisateurs s'intéressent aux secrets du palais de Buckingham et aux secrets du gouvernement. C'est pourquoi un nouveau projet de loi est entré au parlement du pays, qui réglemente les actions de la police en matière de véhicules aériens sans pilote.

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Pour être franc, la loi étend simplement les pouvoirs des flics et permet, à sa seule discrétion, d’abattre ou d’intercepter le contrôle des drones. Le projet de loi prévoit la confiscation partielle ou totale des UAV, ce qui est décrit dans la note explicative comme une collecte de preuves d’une violation existante.

Comme le montre la pratique, l'Angleterre n'est pas à l'origine d'une telle loi sur les drones. Aux États-Unis, il existe depuis longtemps une loi sur l'élimination des drones dans les prisons, les immeubles de bureaux et les installations militaires. La confiscation des restes d'un appareil tombé au sol augmente la base de preuves devant les tribunaux pour porter des accusations ou examiner des plaintes des propriétaires.

Il est prévu que la loi en Angleterre soit adoptée d’ici le début de l’année 2018.

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